Au pays des masques du rêve
Mille et uns signes tourbillonnent
Afin d’enchanter tous les sommes
Qui tous s’ébattent après la fête
Immobiles scènes des songes
S’égayant dans tous les esprits
Comme autant de scènes amies
Aux mille et uns signes qui rongent
La moelle épinière du monde
Qui s’affaissant telle une ronde
Autour de la terre encerclée
Par des préjugés inutiles
Délivre des signes futiles
Enfin pour toujours déboutés.
Ecrit entre 1990 et 2005
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